
023 - Jugement, temps des fêtes et enfants aux besoins différents
Être parent dans l'intensité ·
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Bienvenue à être parent dans l'intensité où on laisse de côté les conseils parentaux généraux et à la place on se concentre à répondre différemment aux besoins de nos enfants et à nos besoins à nous aussi pour traverser les tempêtes avec plus de calme de clarté et de confiance. Moi c'est Anne-O que je suis là pour naviguer le tout avec vous. Je tiens à souligner que le contenu de ce podcast est pour information seulement et ne remplace pas le soutien ou les conseils d'un ou une professionnelle. On est dans le mois de décembre au moment de la de ce podcast. C'est souvent un moment qui est un peu intense pour la plupart des gens, c'est un mois de fête en temps des fêtes de fin d'année et c'est souvent un moment difficile quand on a des enfants qui ne fêtent pas dans les cases qui n'ont pas un parcours standard pour plein de raisons si c'est des enjeux de santé des fois s'il y a des hospitalisations instant cette année c'est particulièrement difficile.
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S'il y a du jugement par rapport à la façon dont on fait des choix pour nos enfants, de la part de la famille, puis c'est le moment de l'année où est-ce qu'on les voit le plus, c'est particulièrement difficile. Si on est loin évidemment de la famille qu'on peut pas les voir pour plein de raisons, c'est aussi difficile. Donc c'est souvent un moment qui est un mélange de festivités, de joie et de moments difficiles. Donc aujourd'hui je voulais aborder justement le jugement parce que c'est souvent dans le temps des fêtes que ce ce jugement-là va être qu'on va on va le ressentir plus je dirais parce que c'est des moments où est-ce qu'on va souvent aller voir des gens qu'on évite entre autres des choses comme ça donc je voulais je voulais me lancer dans cette dans cet épisode pour ça à ce temps-ci de l'année pour des petits outils, des petits trucs peut-être pour aider à ce que ça se passe un peu mieux à la fois que les fêtes se passent un peu mieux puis tu sais c'est pas juste pour les fêtes de temps de de fin d'année là ça peut s'appliquer à n'importe quel autre moment dans l'année où est-ce que vous allez aller voir d'autres gens finalement.
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Avoir des événements familiaux ou même avec des amis, mais je prends prétexte dans les fêtes pour parler de ça. Donc voilà. D'abord, je veux juste adresser rapidement le rôle que la confiance ou notre manque de confiance peut avoir au niveau de notre ressenti par rapport au jugement. Plus on se fait confiance par rapport à nos décisions, par rapport à nos enfants, moins on va ressentir le jugement des autres. Est-ce qu'il va être là plus ou moins Pas nécessairement, il ne sera pas moins là, mais on va être, on va le moins le ressentir et surtout on va continuer à agir en fonction de ce qu'on veut, puis de ce qu'on sait que nos enfants ont besoin malgré les jugements.
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J'en parle dans un des premiers épisodes si je me trompe pas là je pourrais mettre le lien dans les notes de l'épisode. Mais c'est juste important de rappeler que la perception qu'on a du jugement et surtout l'impact que ça a sur notre façon de fonctionner joue beaucoup en fonction du niveau de confiance qu'on a par rapport à ce qu'on fait avec nos enfants. Je dirais que la première chose à faire quand on se rend quelque part si on veut, c'est de décider qu'est-ce qu'on veut ou pas partager, d'identifier qu'est-ce qui est nécessaire dans le contexte dans lequel on va être. En fonction de si on est chez ma tante quelque chose ou chez grands-parents x y, On ne va pas nécessairement partager les mêmes choses. Les besoins ne seront pas nécessairement les mêmes en fonction de plein de facteurs dans lesquels j'en pris par détail, mais ça peut être une question de qui comprend, qui ne comprend pas l'ouverture, l'expérience qu'ils ont avec nos enfants, est-ce qu'ils comprennent, est-ce qu'ils ne comprennent pas, les expériences passées que vous avez avec ces personnes-là directement avec vos enfants ou pas.
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Il y a un paquet de facteurs, le contexte de l'environnement physique de la maison, s'il y a des bibelots partout puis votre enfant il va tout casser. Il y a comme plein plein plein plein d'éléments qui rentrent en ligne de compte à savoir qu'est-ce à qui on doit partager puis qu'est-ce qu'on doit partager puis c'est pas nécessaire de tout partager des informations. Des informations, c'est de savoir qu'est-ce qui est essentiel pour que ça se passe bien. Qu'est-ce que la personne sait déjà qu'est-ce qu'elle sait pas. Juste d'être clair parce que souvent on va là avec un espèce de stress.
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Le temps des faits s'en vient. On est envahi par toutes les affaires à faire déjà plus l'anxiété de comment ça va se passer. Puis déjà juste d'être clair sur où est-ce qu'on s'en va, qui va être là, à qui il faut qu'on parle, de quoi il faut qu'on parle, ça aide à diminuer ce stress relié à cette période qui peut être un peu intense. L'autre élément qui est important, c'est une fois qu'on sait à qui puis qu'est-ce qu'on va dire de décider quand c'est quand ça met un moment. Est-ce que c'est sur place au moment même pour éviter qu'il puisse dire non ou est-ce que c'est mieux de les prévenir à l'avance.
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Ça aussi, tu sais, c'est en fonction de c'est qui à qui vous parlez puis du contexte. Puis un des éléments à garder en tête qui peut parfois aider à se repositionner, c'est de se demander pour qui j'explique. Est-ce que j'explique pour moi ou j'explique pour mon enfant. Puis il n'y a pas une mauvaise raison, il n'y a pas de mauvaise réponse à ça. C'est correct d'expliquer pour vous parce que ça vous permet de mieux vous sentir dans le contexte, mais juste de savoir est-ce que j'explique parce que mon enfant a besoin que j'explique ou est-ce que j'explique pour me justifier comme parent de ce que je fais avec mon enfant.
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Donc juste de clarifier tout ça, ça aide à comme ça donne un sentiment de reprise de contrôle un peu sur notre contexte. Ce qui peut être important ou voir nécessaire, c'est de parler avec notre enfant si on peut là parce qu'il y en a qui soit soit ont pas l'âge ou le développement pour comprendre ou qui veulent juste savoir. Si on peut d'en parler avec notre enfant parce que si on doit parler de notre enfant devant d'autres personnes, ça serait le fun qu'il soit au courant de ce qu'on va partager puis qu'il soit d'accord. Mais si j'ai parfaitement conscience parce que j'en ai aussi des modèles comme ça chez moi que ce n'est pas toujours possible. Il y a des enfants qui ne veulent rien savoir de parler des enjeux ou des différents accommodements qui pourraient demander comme si une conversation qui n'existe pas malgré ce que vous essayez de faire.
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Ça ne veut pas dire que ça n'arrivera pas plus tard, mais là, là, ce n'est pas une conversation possible. Ou c'est juste trop difficile ou peu importe. Oui, des fois, c'est juste pas possible d'en parler avec nos enfants, mais quand c'est possible, c'est très utile. Puis s'il y a un enfant qui est capable de demander par lui-même, ça passe mieux. Puis en même temps, c'est une façon pour cet enfant-là de se développer dans l'expression de ses besoins reliés à sa condition quelle qu'elle soit.
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Donc donc voilà, c'est comme c'est pas un bon outil. J'en parlais dans le dernier épisode sur le passage à la naissance à l'âge adulte même s'il y a juste 7 ans, c'est une belle préparation. Dans le pratico pratique de qu'est-ce qui peut être fait parce que tu sais oui en parler oui expliquer les choses mais aussi des choses comme au jour le jour qui peuvent être faits d'avance ou pas. Donc une des choses ça serait de voir est-ce que vous avez des alliés. Est-ce qu'il y a des gens qui vont être présents, qui peuvent être là avec vous, qui peuvent expliquer pour vous peut-être même si vous ça ne vous tente pas d'expliquer ou que vous avez pas envie d'expliquer à 30 ou 3 personnes, peut-être que cette personne peut être un peu votre voix, c'est correct de faire ça.
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Est-ce qu'ils peuvent aussi comme abonder dans votre sens, dire oui, oui, je suis d'accord, oui, oui, c'est comme soutenir si jamais il y a des commentaires ou répondre si jamais il y a des commentaires négatifs, des choses comme ça. De prévoir ce que vous pensez que votre enfant peut avoir besoin pour accommoder ses besoins et réduire. C'est par exemple un coussin qui permet de, je me suis jamais devant ces appels, mais c'est un coussin qui permet de bouger même quand on est assis, Un enfant qui aurait beaucoup besoin de beaucoup bouger, ça, ça peut être que vous ne l'utilisez pas tant au quotidien parce qu'à la maman maison, vous avez un accommodement qui est juste de laisser votre enfant courir pendant les repas. Mais là, je sais que grand maman, ça ne se peut pas. Fait qu'on apporte ce coussin-là pour permettre à l'enfant de bouger en restant assis sur sa chaise par exemple.
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Est-ce que bon d'habitude votre enfant il écoute la télé pendant qu'il saute pour ça lui permet de rester tranquille, mais là ça sera pas possible chez grand-maman. Qu'est-ce qu'on fait Est-ce qu'on peut amener un livre, est-ce qu'on peut amener un livre disque puis mettre des écouteurs Tu sais de trouver qu'est-ce qui peut permettre d'accommoder puis dans le contexte dans lequel vous allez être qui des fois c'est pas vraiment possible ou ça va amener trop de conflits ou de questions puis ça vous tente pas. Comment est-ce qu'on peut accommoder tout en respectant le contexte dans lequel on est jusqu'à un certain point. Puis là, c'est vous qui savez jusqu'où vous voulez pousser les limites de où est-ce que vous allez aller puis jusqu'où ça ne vous tente pas de pousser. Il y a aussi une question de tradition familiale.
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Il y a des choses que c'est correct aussi. On ne veut pas toutes questionner toutes en même temps non plus. Il y a des choses qui peuvent être respectées dans les traditions familiales si on peut trouver des façons d'accommoder quand même les besoins de nos enfants. Puis une des choses qui peut aider aussi des fois, c'est de le faire nous aussi. Des affaires qui vont passer un peu comme inaperçues.
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Par exemple si on sait que notre entente a besoin de bouger pendant le repas, je vais me lever, tu vas débarrasser la table, je vais aller porter la vaisselle dans la cuisine, on va remplir le lave vaisselle. Tiens, j'amène mon enfant avec moi pour qu'il aide. Comme ça, il va, il va pouvoir bouger pendant le repas, puis que ça sera socialement acceptable de bouger pendant le repas. Je fais ça moi-même lever pour aller débarrasser la table quand je tenais des vacilles. C'est comme, c'est correct quand on débarrasse la table, ça, ça, c'est accepté.
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Ça fait que juste des choses comme ça, des fois, ça fait que ça passe comme inaperçu. Si on sait que ça ne va juste pas bien se passer, on peut peut-être s'asseoir à la table des enfants. Je ne sais pas si vous avez ça dans vos familles, mais c'est chez nous. Il y a assez de place à la grande table pour tout le monde. Les enfants sont souvent ailleurs.
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Ça, ça peut être une option. Est-ce que c'est nous, est-ce qu'on peut nous aussi mettre des bouchons dans les oreilles pour que l'enfant sache qu'il n'est pas tout seul à avoir ça? Est-ce qu'on peut ne pas s'habiller super chic alors que tout le monde le fait pour comme permettre que l'enfant lui aussi va être habillé en fonction de tu sais un peu moins un peu plus confortable parce qu'il est plus sensible au niveau des vêtements ou est-ce qu'on peut proposer que tout le monde soit en pyjama cette avènement. Tu sais comme il y a différentes choses qui peuvent être faites qui incluent tout le monde aussi qui font pas que notre enfant est complètement toujours différent parce qu'il y a des enfants qui vivent ça de façon difficile. Puis toutes ces affaires-là, tu sais s'il y avait des alliés, ils peuvent embarquer là-dedans aussi.
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Ça peut être utile quand vous n'êtes pas tout seul à faire des suggestions ou à demander des choses ou à agir un peu différemment. Ça pourrait être dire maman qui est chez ma tante puis ces grands mamans vont se lever avec votre enfant pour aller faire quelque chose pendant le repas, ça va peut-être passer mieux que si c'est vous par exemple. Donc ça peut être des des petits trucs aussi comme ça au quotidien. Puis c'est sûr que tu sais, si on sait qu'on s'en va faire une activité qui va être difficile puis que notre enfant va être sûrement possiblement en surcharge, va devoir se contrôler plus que d'habitude. Ça vaut la peine de prévoir autour, de courir le contenant, de prévoir l'avant, l'après.
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Peut-être qu'avant ce souper-là, on ne fait rien du tout. Peut-être qu'on arrive plutôt quelque part pour laisser le temps à notre enfant de s'habituer ou de se reposer. Peut-être qu'il faut aller jouer dehors. Peut-être qu'il ne faut rien faire la journée d'avant ou la journée d'après. Peu importe qu'est-ce qui va aider votre enfant de prévoir ces choses-là, que ce soit pas juste sur le moment lui-même, mais de prévoir aussi le avant puis le après.
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Pour prévoir, pour prévenir aussi que des des que l'enfant se désorganise complètement ou qu'il soit en surcharge. Puis que ça amène plein de jugements justement, tu sais, parce que c'est dans ces moments-là qu'un jugement arrive puis là on agit moins bien surtout dans un contexte où est-ce qu'on est jugé. Puis quand c'est dans le même ordre d'idée de bouger, ça peut être de sortir dehors par exemple prendre une marche ou d'aller juste dans une salle tout seul avec notre enfant quelques minutes pour pour qu'il puisse s'isoler de tout le monde s'il y a trop de bruit, trop de mouvement. Peut-être qu'on amène un jouet de la maison, une activité, qu'on sait que notre enfant va aimer. Tu sais, différentes choses comme ça qui vont permettre que l'enfant va avoir une belle expérience aussi.
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Parce que des fois, c'est ça, tu sais, on le fait parce qu'il faut qu'on le fasse, parce que c'est familial, parce que c'est une tradition, mais comme finalement, c'est juste un pas pour tout le monde. Est-ce qu'on peut rendre ça moins désagréable C'est plus agréable que ça soit le fun pour tout le monde, ça ne soit pas juste comme une obligation. En enlevant les irritants, puis en ajoutant des accommodements, autant pour eux que pour nous aussi, peut-être que nous aussi, il y a des affaires que ça va nous taper sur les nerfs, puis qu'on fait parce qu'il faut, mais qu'en se posant la question pour notre enfant, on peut se la poser pour nous aussi. Parce que sinon, tu sais, l'autre option, c'est de ne pas aller à des événements. Si on peut faire un choix aussi de dire, il y a des événements que c'est juste trop.
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J'ai pas envie d'aller à cet endroit-là, ça va juste trop me demander, il va y avoir trop de conséquences, ça va nous épuiser tout le monde pendant 2 semaines. Ça ne vaut pas la peine, on n'y va pas, tu sais avec toutes les conséquences que ça peut amener. Des fois, c'est difficile. Mais ça peut aussi être un moment pour se questionner sur nos familiales puis dire nous dans notre contexte en ce moment puis c'est le en ce moment ça veut pas dire que c'est pour toujours. Mais nous en ce moment ça marche pas fait qu'on va faire d'autres choses on va trouver d'autres traditions on va faire trop d'autres choses le fun.
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C'est pas parce qu'on fait pas une activité familiale prévue ou habituelle qu'on fait rien puis que c'est plate. On peut bâtir d'autres traductions qui nous correspondent mieux aussi. Des fois ça, c'est l'autre option quand certaines choses conviennent pas. Ou on organise l'événement chez nous si ça permet de mieux accommoder aussi. Fait que ça c'est comme des suggestions un peu pêle-mêle si on veut de comment faire pour que ça se passe mieux puis ça s'applique à tellement de choses mais tu sais là c'est vraiment un contexte de de d'événements de familial je dirais le regroupement de groupe regroupement ça c'est dû répéter, regroupement grand groupe, c'est surtout ça l'idée.
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C'est qu'on est souvent plus nombreux que dans notre quotidien puis on sort de notre bulle. Tu sais des fois on s'accommode dans notre famille, dans notre maison, comme des habitudes d'accommodement puis c'est quand on est, qu'on sort dehors, quand on se retrouve dans des endroits où on est moins habitué d'aller que là, on se retrouve confronté à ces besoins d'accommodement-là qui deviennent comme normales dans notre quotidien habituellement. Puis ça peut autant d'affaires de comme mettons s'il y a des enjeux au niveau des virus pour votre enfant ou pour vous de dire comme moi j'ai besoin de savoir si quelqu'un est malade puis j'irai pas à cet événement-là si quelqu'un est malade ou vous portez un masque ou on fait l'activité dehors ou tu sais il y a comme plein de choses qui peuvent être accommodées pour permettre de participer sans que ça devienne un événement trop stressant désagréable. Puis avant qu'on termine, j'adressais, il va souvent y avoir malgré tout des gens qui soit veulent rien comprendre, soit vont poser des commentaires désagréables. Puis ça vaut la peine de se préparer d'avance pour ces affaires-là.
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D'abord, encore une fois, c'est est-ce que j'ai besoin de répondre Peut-être que je n'ai pas besoin, puis je veux faire comme juste ça chez la terre, faire un un, puis passer à d'autres choses. Il y a du monde que vous le savez, ça sert juste à rien. Après ça, ça ne veut pas dire que ça n'a pas d'impact sur vous, mais ça se peut que ça ne va être pas la peine d'engager, de se lancer dans des explications. Ça se peut que oui, mais ça, c'est vous. C'est vous qui le savez.
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Puis des fois, c'est juste, c'est trop d'énergie pour rien. Ça ne vaut pas la peine. Peut-être que votre allié peut s'en occuper, vous ou votre allié. Mais peut-être que ce n'est juste pas le contexte ou le moment non plus. Puis des fois ça vaut la peine d'avoir des petites phrases clés aussi, tu sais préparer d'avance auquel on peut comme donner aux gens dans ces moments-là de genre c'est pas que mon enfant il veut pas, c'est qu'il peut pas.
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Un classique adapté de Ross Green et ça peut être comme on travaille actuellement sur x, donc mon enfant va ou ne va pas faire y. Tu sais, c'est comme ou ex. C'est comme il y a juste de dire ça fait juste démontrer comme être proactif parce que souvent le jugement vient de genre ah ben là franchement il fait rien, il s'en arrive pas. C'est une espèce jugement de comme si on était désinvesti, suivi, puis qu'on ne faisait rien. Mais c'est comme là, notre priorité, c'est ça.
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Donc, on ne va pas faire ça ou on va faire ça. Juste pour dire comme ça, ce n'est pas ma priorité en ce moment. Ce n'est pas là-dessus que je travaille. Je travaille sur d'autres C'est comme juste une façon de clore la discussion si on veut, tu sais. Ou il y a toujours des gens qui vont s'obstiner.
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Mais bon, c'est quand même une façon de clore la discussion. Donc voilà pour ça aujourd'hui. J'espère que votre temps des fêtes ou tout autre événement familial vont bien se passer puis que ça a pu vous être un petit peu utile si jamais vous avez d'autres suggestions, des idées, n'hésitez pas à les partager. Merci d'être là aujourd'hui pour vous et pour vos enfants. Si vous pensez que l'épisode peut aider d'autres parents, partagez-le avec eux, ça va à la fois leur dire je pense à toi et je te comprends.
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Si vous voulez passer à l'action pour rester plus calme parce que généralement ce temps difficile de l'année en reculant votre système nerveux, vous pouvez obtenir le guide gratuit sortir du mode survie dans sur le site internet qui est à maman famille point c a, maman au pluriel. J'espère que vous allez passer encore une fois un bon temps des fêtes de retour l'année prochaine. Je suis là pour vous pour que vous soyez là pour vos enfants.